Des logements de ville qui composent une façade sur rue aux couleurs primaires, comme
un tableau en hommage à Piet Mondrian, qui énonçait : «L’art disparaîtra à mesure que la vie aura plus d’équilibre…. Nous n’aurons plus besoin de peintures et de sculptures car nous vivrons au milieu de l’art réalisé. »
Sur cour des loggias abritées de volets à ventelles, offrent une deuxième pièce à vivre, tampon thermique, très apprécié.
Le projet figure dans le guide -ARCHITECTURES À MARSEILLE, 1900-2013 –
de Thierry Durousseau /éd. MAV PACA.
3 500 000 €